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typographiques, lesquels doivent à leur ductilité proportionelle de fréquentes et précoces déformations. De plus, si on en juge par le spécimen obtenu, le nouveau produit ne se laisse influencer ni par la chaleur, ni par le froid, ni par l'humidité, et il offre aux atteintes du feu une résistance au moins égale à celle de la matière dont on se sert actuellement. Sans doute, l'échantillon n'est pas parfait; ainsi que l'a expliqué l'inventeur, la chaleur a manqué, ce qui fait que l'on remarque sur certains points une espèce de stratification dans laquelle on croit reconnaître les fibres du bois; mais toutes les parties du bloc fondu sans préparation dans un récipient rectangulaire ne sont pas semblables. Il en est de parfaitement lisses, à l'intérieur comme à l'extérieur, dont les arêtes vives, compactes, résistantes, et sans aucune solution de continuité, indiquent nettement le parti que l'on en pourra tirer. En outre, cette matière prend l'encre avec une extrême facilité et supporte sans inconvénient le lavage à la potasse, au carbonate ou à l'essence de térébenthine.

SCIENTIFIC FRENCH.

FOURTH YEAR.

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1. Quand il ne s'agit que de changements d'états, vaporisation de l'eau, fusion de la glace, ces causes sont depuis longtemps connues; ce sont les variations de pression, de température et d'état électrique. Or ce sont encore ces mêmes causes, et sculement ces causes, qui interviennent dans les réactions chimiques. Les expériences sur la dissociation ont simplement permis d'étendre aux systèmes chimiques proprement dits les lois des changements d'état; ajoutons qu'elles n'en constituent pas moins, dans l'ordre scientifique, une révolution comparable, par son importance, à la découverte de la loi des proportions définies.

La dissociation est un phénomène bien connu; il n'est pas inutile cependant d'en citer un exemple pour montrer quel en est le véritable caractère et en faire ressortir les analogies.

Soit, comme exemple, la dissociation de l'iodure de mercure. Supposons ce corps renfermé dans un récipient en verre dont le volume puisse varier, au moyen d'un piston par exemple, la pression étant maintenue constante. Si l'on élève la température graduellement, le corps se volatilise, et la vapeur incolore ne subit d'abord aucun changement chimique; son volume augmente conformément à la loi de dilatation des gaz, en même temps que la chaleur absorbée suit une progression semblable.

2. Les anesthésiques généraux entravent, suspendent ou suppriment une fonction fondamentale, dont le libre exercise est indispensable à l'entretien des nouvements moléculaires intimes, qui caractérisent toute substance vivante, quelle que soit d'ailleurs sa forme ou son origine. Si l'or. place, comme le fait Claude Bernard, des graines sur du coton humide, sous une cloche renfermant des vapeurs d'éther ou de chloroforme, à une température égale à celle qui favoriserait la germination dans les conditions ordinaires, elles resteront à l'état de vie latente tant qu'elles seront en présence de l'agent anesthésique; mais dès qu'elles auront été soustraites à son influence paralysante les phénomènes de germination commenceront et suivront leur marche régulière. Pour qu'une graine germe normalement il lui faut: 1° de l'eau, 2° de l'oxygène, 3e une température convenable. On peut s'assurer

par l'expérience que ce n'est pas l'action de la chaleur qui est modifiée, ni celle de l'oxygène qui est suspendue par la présence de l'agent anesthésique, le phénomène de la respiration continuant au sein du protoplasma alors mème qu'il est déjà anesthésié.

3. Si la membrane du tympan servait de paroi à une caisse vide ou remplie par un gaz ccmplètement emprisonné entre des parois résistantes, il est certain qu'elle ne vibrerait pas, ou qu'elle vibrerait mal. Aussi faut-il bien se pénétrer de cette idée que les deux faces de la membrane sont accessibles à l'air, sont soumises à la même pression, et que les ondes sonores peuvent se transmettre aussi bien par le conduit externe que par la trompe d'Eustache. Toutefois, les dimensions restreintes de ce dernier canal, sa position dans l'arrière-cavité des fosses nasales, et par conséquent son rapport avec de l'air, dont les vibrations se sont amorties sur des contours déjà nombreux, tout cela, disons-nous, n'en fait pas le conduit ordinaire des ondes sonores, mais seulement une ouverture destinée au maintien d'une pression toujours égale à la pression atmosphérique. L'expérience prouve d'ailleurs que si l'on bouche les oreilles avec le doigt, on perçoit fort bien un son émis avec la bouche fermée; et, d'autre part, l'observation médicale a établi que l'occlusion de la trompe d'Eustache coïncidait avec une certaine dureté de l'ouïe.

JUNIOR ENGLISH.

Candidates will take the first and either of the other two questions in this section.

1.

I.

The quality of mercy is not strained;

It droppeth as the gentle rain from heaven
Upon the place beneath: it is twice blessed;
It blesseth him that gives and him that takes;
'Tis mightiest in the mightiest; it becomes
The throned monarch better than his crown;
His sceptre shows the force of temporal power,
The attribute to awe and majesty,

Wherein doth sit the dread and fear of kings.
But mercy is above this sceptred sway;

It is enthroned in the hearts of kings,

It is an attribute to God himself,

And earthly power doth then show likest God's
When mercy seasons justice.

(a) Give the meaning or use of the underlined words or phrases.

(b) Explain how mercy blesses "him that gives" and also how ""Tis mightiest in the mightiest."

(c) Develop the comparison between mercy and the gentle rain from Heaven. Point out the beauty of the illustration.

(d) How does the passage illustrate Shakespeare's use of language?

(e) From the passage, what would you infer to be Shakespeare's conception of ideal manhood?

(f) How near does the thought of this passage come to the main thought of the play?

2. Give an account of the trial scene that would convey to one some idea not only of the matter of the scene but also of Shakespeare's method of dramatic construction.

3. Describe one character from each of the following groups: (1) Portia, Shylock, The Prince of Arragon;

(2) The Prioresse, The Clerk of Oxenford, The Monk, The Parson.

II.

In this section candidates will take questions 4 and 7 and either question 5 or question 6.

4. These papers are delivered to a set of artists very dexterous in finding out the mysterious meaning of words, syllables and letters; for instance, they can discover a flock of geese to signify a senate; a lame dog, an invader; the plague, a štanding army; a buzzard, a prime minister; the gout, a high priest; a gibbet, a secretary of state; a sieve, a court lady; a broom, a revolution; a mousetrap, an employment; a bottomless pit, a treasury; a sink, a court; a cap and bells, a favourite; a broken reed, a court of justice; an empty tun, a general; a running sore, the administration.

(a) Point out how ingenious the pairing of names is here.

(b) By what other means does Swift heighten the satirical effect?

(c) Write a note on Swift's command of words. Compare him in this respect with Ruskin, using illustrations from both writers.

5. What is the value of Macaulay's account of (a) Boswell, (b) Johnson, (c) the rise and decline of literary patronage.

6. Make an outline plan of Arnold's essay on Sweetness and Light. Explain what he means by Culture, Machinery, Jacobinism.

7 Criticize and improve the following sentences:

(a) Portia's mother died when she was in her infancy, so her father took great pains with the education of his only child and heiress.

(b) All the love which he had lavished on both her mother and the little girl he now lavished on his daughter (the little girl).

(c) Her treatment towards me is not that of a mistress towards a servant but that which she would extend to a trusted companion.

(d) A short time before the beginning of events Portia's father, who had seen his child develop into a wonderfully gifted and talented woman, thought of the lottery of the caskets as a

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